Les travaux menés initialement sur des souris de laboratoire ont démontré les bénéfices de l’environnement enrichi sur de nombreux troubles et pathologies.

Parmi celles-ci : les troubles du comportement, les troubles du sommeil, la dépression, les troubles cognitifs (notamment la mémoire et l’orientation spatiale), la maladie d’Alzheimer, la maladie de Parkinson, la perte d’indépendance fonctionnelle, le repli social, la schizophrénie, l’autisme, le cancer, la réadaptation post-AVC, la dénutrition, la maladie de Rett, la maladie de Huntington, les troubles de la vision, et l’addiction à l’alcool ou aux drogues.

L’exposition à un environnement enrichi, selon les protocoles d’études, montre que les modes d’enrichissement sont adaptés aux différentes pathologies des usagers. Il est recommandé de fréquenter ces espaces enrichis de manière régulière, pour une durée minimale de 15 à 30 minutes par jour.